ASPARTAM : XAVIER BERTRAND REAGIT...

La taxation innatendue des boissons contenant du sucre a réveillé les opposants à l'aspartam ! En effet, la nouvelle taxe rendra les produits en question plus chers, ce qui devraient favoriser la consommation de boisson "light" dont l'aspartam est un des composants.

 

Le Ministre de la Santé, Xavier BERTRAND, a précisé que l'ANSES (Agence de Sécurité Sanitaire de l'Alimentation) rendra un avis sur l'Aspartam avant la fin de l'année 2011 au plus tôt.

 

Une réévaluation européenne avait été avancée à 2012.

 

De quoi, encore, semer le doute sur l'inocuité totale de l'Aspartam. Il serait peut être temps que le grand public ait une appréciation claire et définitive sur cet édulcorant. Une bonne fois pour toute. 

 

 

 

 

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Commentaires: 3
  • #1

    ellen vader (lundi, 20 février 2012 08:03)

    Nous sommes où maintenant (en février 2012) ?????

    En France, Xavier Bertrand se dit "prêt à prendre des mesures draconiennes". Pour Laurent Chevallier, il y a urgence : "Ne pas prendre de décision, c’est en prendre une.

    C’est son remarquable travail d’enquête sur les additifs alimentaires qui a décidé Xavier Bertrand. Début septembre, le ministre de la Santé a demandé à l’Agence nationale de sécurité sanitaire d’apporter avant la fin de l’année une "réponse précise" sur les difficultés que poserait l’aspartame.

    http://www.midilibre.fr/2011/09/25/de-gros-doutes-sur-l-aspartame,393264.php

  • #2

    FG (mercredi, 22 février 2012 16:17)

    eh oui, vous avez raison... beaucoup de paroles, peu d'actes... C'est bien malheureusement l'attitude générale de nos hommes politiques, non ?

  • #3

    bidibule (mercredi, 21 mars 2012 18:06)

    en fait c'est assez simple de se faire une opinion sur l'aspartam quand on considère le fait qu'à peu de choses pres, les études qui "l'innocentent" sont liées de près ou de moins près au lobby, et les études qui alertent sur les dangers possibles sont les rares études indépendantes sur le sujet. à partir de là... voila, on pourra faire autant d'études qu'on voudra, tant qu'on continuera de prendre en comptes celles dont les commanditaires ne sont pas neutres, on n'ira pas bien loin.